vendredi 6 février 2009

QUESTIONNAIRE POUR REFLECHIR SUR LES EXPERIENCES LITURGIQUES « concrêtes » DE l’ENSEMBLE PASTORAL

1. Comment prépare-t-on les eucharisties dominicales dans votre communauté ?

a. Qui prend part à la préparation ? (Equipe liturgique de secteur, de relais, autres groupes ?...)

b. Quels sont les « outils » utilisés pour la préparation de la liturgie ?

c. Dans le temps de préparation, quelle place est accordée à la lecture et à l’écoute commune de la Parole de Dieu ?

d. Comment la vie des hommes de notre temps est-elle « amenée » dans cette préparation ?

e. Comment se vivent les rapports entre lecture de la Parole de Dieu et des oraisons, élaboration des textes et prières (accueil, préparation pénitentielle, prière universelle…), choix des chants, et les différents acteurs ? Nommer les difficultés rencontrées.

2. Quelle est LA PLACE DU PRÊTRE dans la préparation ?

3. Comment L’EQUIPE LITURGIQUE fait-elle appel à d’autres pour la préparation ou la mise en œuvre dans la célébration ?

4. Quels sont les POINTS QUI FONT DIFFICULTE dans la préparation et l’animation de l’eucharistie et des assemblées dominicales ?

5. Quelle est la place accordée à la RELECTURE des célébrations ? Avec qui ? Dans quelles circonstances ?

6. AUTRES POINTS PARTICULIERS OU QUESTIONS que vous souhaiteriez voir abordés durant cette formation ? Quelles sont vos attentes par rapport à ce cycle de formation ?

L'ART DE CELEBRER selon le PAPE BENOIT XVI

Benoit XVI, répondant à la question d’un prêtre le 11 septembre 2006 :
notre diocèse a été appelé par l'évêque à prêter une attention particulière à la liturgie, tant au niveau théologique, que de la pratique célébrative (…) En tant que prêtres, nous sommes appelés à accomplir une liturgie « sérieuse, simple et belle », (…) Très Saint-Père, pouvez-vous nous aider à comprendre comment tout cela peut se traduire dans l'ars celebrandi ?

BENOIT XVI : Ars celebrandi : ici aussi, je dirais qu'il existe diverses dimensions. La première dimension est que la celebratio est une prière et un dialogue avec Dieu : Dieu avec nous et nous avec Dieu. La première exigence pour une bonne célébration est donc que le prêtre entre réellement dans ce dialogue. En annonçant la Parole, il se sent lui-même en dialogue avec Dieu, Il écoute la Parole et annonce cette Parole, dans le sens où il devient un instrument du Seigneur et cherche à comprendre cette Parole de Dieu qui doit ensuite être transmise au Peuple. Il est en dialogue avec Dieu, car les textes de la Messe ne sont pas des textes de théâtre ou quelque chose de semblable, mais ce sont des prières grâce auxquelles, avec l'assemblée, je parle avec Dieu. Entrer dans ce dialogue est donc important. Saint Benoît, dans sa « Règle », dit aux moines, en parlant de la récitation des Psaumes: « Mens concordet voci ». La vox, les paroles, précèdent notre esprit. D'habitude, ce n'est pas comme cela : d'abord on doit penser, puis la pensée devient parole. Mais ici, la parole précède. La Sainte Liturgie nous donne les paroles ; et nous, nous devons entrer dans ces paroles, trouver l'harmonie avec cette réalité qui nous précède.A côté de cela, nous devons également apprendre à comprendre la structure de la Liturgie et la raison pour laquelle elle est organisée ainsi. La Liturgie s'est développée à travers deux millénaires et même après la Réforme. Elle n'est pas devenue une chose élaborée uniquement par une poignée de liturgistes. Elle demeure toujours la continuation de cette croissance permanente de l'adoration et de l'annonce. Ainsi, il est très important, pour pouvoir être en pleine harmonie, de comprendre cette structure, qui s'est développée dans le temps, et entrer ainsi avec notre mens dans la vox de l'Eglise. Dans la mesure où nous avons intériorisé cette structure, compris cette structure, assimilé les paroles de la Liturgie, nous pouvons entrer dans cette harmonie intérieure et ainsi, non seulement parler avec Dieu comme des personnes individuelles, mais entrer dans le « nous » de l'Eglise qui prie. Et de cette façon, transformer également notre « moi » en entrant dans le « nous » de l'Eglise, en enrichissant, en élargissant ce « moi », en priant avec l'Eglise, avec les paroles de l'Eglise, en étant réellement en dialogue avec Dieu.Telle est la première condition : nous devons nous-mêmes intérioriser la structure, les paroles de la Liturgie, la Parole de Dieu. Ainsi, notre célébration devient réellement une célébration « avec » l'Eglise : notre cœur s'élargit et nous ne faisons pas simplement quelque chose, mais nous sommes « avec » l'Eglise et en dialogue avec Dieu. Il me semble que les personnes savent percevoir si nous sommes véritablement en dialogue avec Dieu, avec elles et, en quelque sorte, si nous attirons les autres dans notre prière commune, si nous attirons les autres dans la communion avec les fils de Dieu ; ou si, au contraire, nous faisons uniquement quelque chose d'extérieur. L'élément fondamental du véritable ars celebrandi est donc cet accord, cette harmonie entre ce que nous disons avec nos lèvres et ce que nous pensons avec le cœur. Le Sursum corda, qui est une très ancienne parole de la Liturgie, devrait venir bien avant la Préface, bien avant la Liturgie, la « voie » de nos paroles et de notre pensée. Nous devons élever notre cœur au Seigneur, non seulement comme une réponse rituelle, mais comme une expression de ce qui a lieu dans ce cœur, qui s'élève vers le haut et qui attire vers le haut également les autres.En d'autres termes, l'ars celebrandi n'entend pas inviter à une sorte de théâtre, ni de spectacle, mais à une intériorité qui se fait sentir et qui devient acceptable et évidente pour les personnes présentes dans l'assemblée. Ce n'est que si les personnes voient qu'il ne s'agit pas d'un ars extérieur, spectaculaire — nous ne sommes pas des acteurs ! — mais qu'il s'agit de l'expression du chemin de notre cœur qui attire également leur cœur, qu'alors la Liturgie devient belle, qu'elle devient une communion de toutes les personnes présentes avec le Seigneur.Naturellement, à cette condition fondamentale, exprimée dans les paroles de saint Benoît : Mens concordet voci — que le cœur monte, s'élève réellement vers le Seigneur — doivent également correspondre des éléments extérieurs. Nous devons apprendre à bien prononcer les paroles. Parfois, lorsque j'étais encore professeur dans mon pays, les jeunes lisaient les Ecritures Saintes. Mais ils les lisaient comme on lit le texte d'un poète que l'on n'a pas compris. Naturellement, pour apprendre à bien prononcer, il faut avant tout avoir compris le texte dans sa dimension dramatique, dans son présent. Il en est de même pour la Préface. Et la Prière eucharistique. Il est difficile pour les fidèles de suivre un texte aussi long que notre Prière eucharistique. C'est pourquoi naissent toujours ces nouvelles « inventions ». Mais on ne répond pas au problème avec des Prières eucharistiques sans cesse nouvelles. Le problème est de faire en sorte que ce soit un moment qui invite également les autres au silence avec Dieu et à prier avec Dieu. Les choses ne peuvent donc s’améliorer que si la Prière eucharistique est correctement prononcée, avec les temps de silence appropriés, que si elle est prononcée avec intériorité, mais également avec l'art de parler.La récitation de la Prière eucharistique exige donc un moment d'attention particulière, pour être prononcée de façon à toucher les autres. Je pense que nous devons également trouver des occasions, que ce soit dans la catéchèse, dans les homélies ou à d'autres occasions, pour bien expliquer au peuple de Dieu cette Prière eucharistique afin qu'il puisse en suivre les grand moments : le récit et les paroles de l'institution, la prière pour les vivants et pour les défunts, l'action de grâce au Seigneur, l'épiclèse, pour faire réellement participer la communauté à cette prière.Ensuite, les paroles doivent être bien prononcées. Et une préparation adéquate est nécessaire. Les servants d'autel doivent connaître leur rôle, les lecteurs doivent savoir réellement comment prononcer. Et le chœur, le chant, doivent être préparés ; l'autel doit être correctement décoré. Tout cela fait partie — même s'il s'agit de nombreux aspects pratiques — de l'ars celebrandi. Mais, pour conclure, l'élément fondamental est cet art d'entrer en communion avec le Seigneur, que nous préparons à travers toute notre vie de prêtres.

Tiré de Cf. http://www.zenit.org/article-13571?l=french

CONCILE VATICAN II. SACROSANCTUM CONCILIUM

CHAPITRE I. (4/12/1963)

I. NATURE DE LA LITURGIE ET SON IMPORTANCE DANS LA VIE DE L'EGLISE
L'oeuvre du salut accomplie par le Christ
5. Dieu, qui "veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité", "qui jadis, tant de fois et de tant de manières, avait parlé à nos pères par les prophètes" lorsque vint la plénitude des temps, envoya son Fils, le Verbe fait chair, oint par le Saint-Esprit, pour annoncer la bonne nouvelle aux pauvres, pour guérir les coeurs brisés, comme un "médecin charnel et spirituel" le Médiateur de Dieu et des hommes . Car c'est son humanité, dans l'unité de la personne du Verbe, qui fut l'instrument de notre salut. C'est pourquoi dans le Christ "est apparue la parfaite rançon de notre réconciliation, et la plénitude du culte divin est entrée chez nous"( Sacramentarium Veronense (Leonianum)).

Cette oeuvre de la rédemption des hommes et de la parfaite glorification de Dieu, à quoi avaient préludé les grandes oeuvres divines dans le peuple de l'Ancien Testament, le Christ Seigneur l'a accomplie principalement par le mystère pascal de sa bienheureuse passion, de sa résurrection du séjour des morts et de sa glorieuse ascension ; mystère pascal par lequel "en mourant il a détruit notre mort, et en ressuscitant il a restauré la vie". Car c'est du côté du Christ endormi sur la croix qu'est né "l'admirable sacrement de l'Eglise tout entière".

L'oeuvre du salut continué par l'Eglise se réalise dans la liturgie
6. C'est pourquoi, de même que le Christ fut envoyé par le Père, ainsi lui-même envoya ses apôtres, remplis de l'Esprit- Saint, non seulement pour que, prêchant l'Evangile à toute créature , ils annoncent que le Fils de Dieu, par sa mort et sa résurrection, nous a délivrés du pouvoir de Satan ainsi que de la mort, et nous a transférés dans le royaume de son Père, mais aussi afin qu'ils exercent cette oeuvre de salut qu'ils annonçaient , par le sacrifice et les sacrements autour desquels gravite toute la vie liturgique. C'est ainsi que par le baptême les hommes sont greffés sur le mystère pascal du Christ : morts avec lui, ensevelis avec lui, ressuscités avec lui ; ils reçoivent l'esprit d'adoption des fils "dans lequel nous crions : Abba, Père" , et ils deviennent ainsi ces vrais adorateurs que cherche le Père . Semblablement, chaque fois qu'ils mangent la Cène du Seigneur, ils annoncent sa mort jusqu'à ce qu'il vienne . C'est pourquoi le jour même de la Pentecôte où l'Eglise apparut au monde, "ceux qui accueillirent la parole" de Pierre "furent baptisés". "Et ils étaient assidus à l'enseignement des apôtres, à la communion fraternelle dans la fraction du pain et aux prières ... louant Dieu et ayant la faveur de tout le peuple" . Jamais, dans la suite, l'Eglise n'omit de se réunir pour célébrer le mystère pascal ; en lisant "dans toutes les Ecritures ce qui le concernait" , en célébrant l'Eucharistie dans laquelle "sont rendus présents la victoire et le triomphe de sa mort"( Conc. Trente, sess.13, 11 Oct. 1551) et en rendant en même temps grâces "à Dieu pour son don ineffable" dans le Christ Jésus "pour la louange de sa gloire" par la vertu de l'Esprit-Saint.

Présence du Christ dans la liturgie
7. Pour l'accomplissement d'une si grande oeuvre, le Christ est toujours là auprès de son Eglise, surtout dans les actions liturgiques. Il est là présent dans le sacrifice de la messe (Conc. trente, sess. 22, 17 sept.1562), et dans la personne du ministre, "le même offrant maintenant par le ministère des prêtres, qui s'offrit alors lui-même sur la croix" et, au plus haut point, sous les espèces eucharistiques. Il est présent par sa vertu dans les sacrements au point que lorsque quelqu'un baptise, c'est le Christ lui-même qui baptise(S Augustin, In Jn Evang. Tract. VI, I, 7: PL 35, 1428.). Il est là présent dans sa parole, car c'est lui qui parle tandis qu'on lit dans l'Eglise les Saintes Ecritures. Enfin il est là présent lorsque l'Eglise prie et chante les psaumes, lui qui a promis : "Là où deux ou trois sont rassemblés en mon nom, je suis là, au milieu d'eux". Effectivement, pour l'accomplissement de cette grande oeuvre par laquelle Dieu est parfaitement glorifié et les hommes sanctifiés, le Christ s'associe toujours l'Eglise, son Epouse bien-aimée, qui l'invoque comme son Seigneur et qui passe par lui pour rendre son culte au Père éternel.

C'est donc à juste titre que la liturgie est considérée comme l'exercice de la fonction sacerdotale de Jésus-Christ, exercice dans lequel la sanctification de l'homme est signifiée par des signes sensibles, et réalisée d'une manière propre à chacun d'eux, et dans lequel le culte public intégral est exercé par le Corps mystique de Jésus-Christ, c'est-à-dire par le Chef et par ses membres.

Par suite, toute célébration liturgique, en tant qu'oeuvre du Christ prêtre et de son Corps qui est l'Eglise, est l'action sacrée par excellence dont nulle autre action de l'Eglise ne peut atteindre l'efficacité au même titre et au même degré.

Liturgie terrestre et liturgie céleste
8. Dans la liturgie terrestre nous participons par un avant-goût à cette liturgie céleste qui se célèbre dans la sainte cité de Jérusalem à laquelle nous tendons comme des voyageurs, où le Christ siège à la droite de Dieu, comme ministre du sanctuaire et du vrai tabernacle ; avec toute l'armée de la milice céleste, nous chantons au Seigneur l'hymne de gloire ; en vénérant la mémoire des saints, nous espérons partager leur société ; nous attendons comme Sauveur notre Seigneur Jésus-Christ, jusqu'à ce que lui-même se manifeste, lui qui est notre vie, et alors nous serons manifestés avec lui dans la gloire .

La liturgie n'est pas l'unique activité de l'Eglise
9. La liturgie ne remplit pas toute l'activité de l'Eglise ; car, avant que les hommes puissent accéder à la liturgie, il est nécessaire qu'ils soient appelés à la foi et à la conversion : "Comment l'invoqueront-ils s'ils ne croient pas en lui ? Comment croiront-ils en lui s'ils ne l'entendent pas ? Comment entendront-ils sans prédicateur ? Et comment prêchera-t-on sans être envoyé ?" .

C'est pourquoi l'Eglise annonce aux non-croyants la proclamation du salut, pour que tous les hommes connaissent le seul vrai Dieu et celui qu'il a envoyé, Jésus-Christ, et pour qu'ils changent de conduite en faisant pénitence . Quant aux croyants, elle doit toujours leur prêcher la foi et la pénitence ; elle doit en outre les disposer aux sacrements, leur enseigner à observer tout ce que le Christ a prescrit , et les engager à toutes les oeuvres de charité, de piété et d'apostolat pour manifester par ces oeuvres que, si les chrétiens ne sont pas de ce monde, ils sont pourtant la lumière du monde, et ils rendent gloire au Père devant les hommes.

La liturgie, sommet et source de la vie de l'Eglise
10. Toutefois, la liturgie est le sommet auquel tend l'action de l'Eglise, et en même temps la source d'où découle toute sa vertu. Car les labeurs apostoliques visent à ce que tous, devenus enfants de Dieu par la foi et le baptême, se rassemblent, louent Dieu au milieu de l'Eglise, participent au sacrifice et mangent la Cène du Seigneur.

En revanche, la liturgie elle-même pousse les fidèles rassasiés des "mystères de la Pâque" à n'avoir plus "qu'un seul coeur dans la piété" ; elle prie pour "qu'ils gardent dans leur vie ce qu'ils ont saisi par la foi" ; et le renouvellement dans l'Eucharistie de l'alliance du Seigneur avec les hommes attire et enflamme les fidèles à la charité pressante du Christ. C'est donc de la liturgie, et principalement de l'Eucharistie, comme d'une source, que la grâce découle en nous et qu'on obtient avec le maximum d'efficacité cette sanctification des hommes dans le Christ, et cette glorification de Dieu, que recherchent, comme leur fin, toutes les autres oeuvres de l'Eglise.

Nécessité des dispositions personnelles
11. Mais, pour obtenir cette pleine efficacité, il est nécessaire que les fidèles accèdent à la liturgie avec les dispositions d'une âme droite, qu'ils harmonisent leur âme avec leur voix, et qu'ils coopèrent à la grâce d'en haut pour ne pas recevoir celle-ci en vain . C'est pourquoi les pasteurs doivent être attentifs à ce que dans l'action liturgique, non seulement on observe les lois d'une célébration valide et licite, mais aussi à ce que les fidèles participent à celle-ci de façon consciente, active et fructueuse.

Liturgie et pieux exercices
12. Cependant, la vie spirituelle n'est pas enfermée dans la participation à la seule liturgie. Car le chrétien est appelé à prier en commun : néanmoins, il doit aussi entrer dans sa chambre pour prier le Père dans le secret , et, même, enseigne l'Apôtre, il doit prier sans relâche . Et l'Apôtre nous enseigne aussi à toujours porter dans notre corps la mortification de Jésus, pour que la vie de Jésus se manifeste, elle aussi, dans notre chair mortelle . C'est pourquoi dans le sacrifice de la messe nous demandons au Seigneur "qu'ayant agréé l'oblation du sacrifice spirituel" il fasse pour lui "de nous-mêmes une éternelle offrande".

BIBLIOGRAPHIE NON EXHAUSTIVE

1. Les livres liturgiques pour préparer et célébrer la liturgie eucharistique dominicale
a) Missel romain (19 mars 1978) Desclée-Mame 1978.
Pour célébrer la messe (la Présentation générale du Missel romain) C.L.D. 1990
http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/ccdds/documents/rc_con_ccdds_doc_20030317_ordinamento-messale_fr.html

b) Lectionnaire pour les messes du dimanche (6 janvier 1980) Desclée-Mame 1980.
Parole de Dieu et Année liturgique (Présentation générale du lectionnaire liturgique et Normes universelles de l’année liturgique et du calendrier) C.L.D. 1998, 143 p.
http://www.clerus.org/bibliaclerusonline/fr/e5g.htm

c) Normes universelles de l’année liturgique
http://www.ceremoniaire.net/depuis1969/missel_2002/nual_2.html

d) Chants notés de l’assemblée
http://boutique.bayardweb.com/article/indexCS.jsp?docId=50065&offre=
http://www.editionsducerf.fr/html/fiche/fichelivre.asp?n_liv_cerf=7103

Prions en Eglise et Magnificat sont des outils précieux, mais ne sont pas des livres liturgiques.

2. Sources
a. Vatican II, Constitution "Sacrosanctum concilium" sur la sainte liturgie, 4 décembre 1963.
http://www.vatican.va/archive/hist_councils/ii_vatican_council/documents/vat-ii_const_19631204_sacrosanctum-concilium_fr.html

b. Catéchisme de l’Eglise catholique : 2° partie : la célébration du mystère chrétien (n° 1066 à 1419) http://www.vatican.va/archive/FRA0013/_INDEX.HTM

c. Jean-Paul II, Lettre apostolique Vicecimus quintus annus, pour le 25° anniversaire de la constitution Sacrosanctum Concilium. http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/apost_letters/documents/hf_jp-ii_apl_04121988_vicesimus-quintus-annus_fr.html

d. Jean-Paul II, Lettre apostolique Spiritus et Sponsa, pour le 40° anniversaire de la constitution Sacrosanctum Concilium. http://www.vatican.net/holy_father/john_paul_ii/apost_letters/documents/hf_jp-ii_apl_20031204_sacra-liturgia_fr.html

e. Benoît XVI, exhortation apostolique sacramentum caritatis, sur l’eucharistie, source et somment de la vie et de la mission de l’Eglise. http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/apost_exhortations/documents/hf_ben-xvi_exh_20070222_sacramentum-caritatis_fr.html

3. Outils de travail pour la pastorale liturgique
a. Les guides célébrer du CNPL
CNPL. "L'art de célébrer - Guide pastoral", véritable guide pour l'art de mettre en oeuvre le trésor que l'Eglise nous donne,
CNPL. "L'art de célébrer - Aide-mémoire pour les animateurs", fournit des points d'attention pratique pour tous les animateurs de liturgie.

b. Un unique site internet, celui du service national de pastorale liturgique et sacramentelle :
http://www.liturgiecatholique.fr/

c. Une revue : la revue « célébrer » : http://www.liturgiecatholique.fr/-Celebrer-.html

4. Pour aller plus loin
A.G. Martimort, Dir. L'Église en prière, Tome II. L'eucharistie, 288 p. Un livre de référence sur l'histoire et la théologie de la liturgie et des sacrements.
J. Gelineau, Dir. Dans vos assemblées (Desclée 1998, 678 p. ) Un autre livre de référence sur la signification et la mise en oeuvre pastorale des sacrements et de la liturgie.
Exultet. Encyclopédie pratique de la liturgie (Bayard 2000, 377 p.) Outil au service des animateurs liturgiques.
Dictionnaire encyclopédique de la liturgie, éd. Brepols, 1, 1992
OURY, Dom G., La messe romaine et le peuple de Dieu dans l’histoire, Solesmes 1981.
Dictionnaire encyclopédique de la liturgie, éd. Brepols, 1 et 2,1992
METZGER M., Histoire de la liturgie. Les grandes étapes (DDB 1994, coll. Petite Encyclopédie du Christianisme, 226 p.)
DE CLERCK P., L’intelligence de la liturgie, Paris, Cerf, 1995
CASSINGENA TREVEDY F., Te igitur, éd. Ad Solem, 2007

Ce blog est au service de ceux qui cherchent entrer plus avant dans l'intelligence de la liturgie

On y trouve quelques causeries faites ici ou là ainsi que des textes, des références...
Il est tout à fait irrégulier dans ses contributions.
On peut chercher et trouver d'excellentes contribution sur le portail du Service National de Pastorale Liturgique et Sacramentelle : http://www.liturgiecatholique.fr/ ou bien sur les liens de ce blog ; liens variés...

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